Bonjour chers lecteurs,

Comme vous le savez sans doute, le but de ce blog est de vous sensibiliser sur la condition des femmes sur la planète. En effet, nous avons dû passer par plusieurs batailles et défis pour pouvoir nous affirmer enfin et être davantage libres. Cependant, ceci n'est pas le cas partout! Bien sûr, les femmes peuvent se considérer chanceuses au Canada, mais il y a bien d'autres pays, comme l'Afghanistan par exemple, où elles sont encore considérées tels de véritables objets sexuels.

Bonne visite et n'hésitez pas à laisser vos commentaires!


vendredi 22 avril 2011

 Les conditions des femmes au Mexique
Cette semaine, pour notre dernier article, nous nous dirigeons au Mexique pour voir la condition qu’a les femmes. Premièrement, les femmes de ce pays subissent elles aussi de la violence familiale et conjugale. Le problème c’est qu’elles ne peuvent déclarer à l’autorité ces actes intolérables, car le système judiciaire ne prend pas leurs déclarations aux sérieux. Selon le site internet www.amnesty.org, pour faire une plainte contre la violence, les femmes doivent surmonter plusieurs obstacles. Notamment, les gens refusent de prendre leurs déclarations, des enquêtes qui n’ont jamais été menées à terme et les mesures de protections sont insuffisantes. Donc, la vie quotidienne des mexicains est fait de misère et de violence.  Les femmes qui vivent en milieu rural, doivent marcher beaucoup de kilomètres à pied  par jour pour réussir à vendre leurs artisanats. Les femmes qui travaillent dans les fabriques, sont extrêmement exploitées, elles sont harcelées sexuellement et ceci est pour les hommes des mesures disciplinaires. Dans ce pays, les entreprises embauchent plus de femmes que d’hommes, car ils croient que celles-ci sont soumises. Donc, elles font tout ce que les hommes leur disent. Dans ce site, http://www.collectif-rto.org, on peut voir que les superviseurs et les chefs de lignes veulent agresser sexuellement les travailleuses. Si elles disent non, ils te jettent et si elles disent oui, ils les mettent enceinte et les licencies. Elles travaillent 12 heures par jour avec 10 minutes de repos et elles gagnent 50$ par semaine.
Pour conclure, nous pouvons, les canadiennes, nous compter chanceuses d’avoir d’aussi bonnes conditions de vie. Nous ne pouvons pas comparer notre situation à tous les pays dont nous avons parlé. En regardant tous les articles, nous voyons qu’il y a beaucoup de violence envers les femmes dans le monde. Pourrions-nous, un jour, changer ces situations désastreuses ?    

jeudi 14 avril 2011

Les conditions de la femme en Chine

Comme dans plusieurs pays, malheureusement, les femmes chinoises ne sont pas encore traitées comme elles le devraient. Bien qu'en Chine les femmes jouissent des mêmes droits que les hommes dans la majorité des domaines, comme la politique, la culture ou encore l'éducation, la réalité est bien différente. Puisque les mentalités des gens n'ont pas vraiment évolué, la réalité reste très éloignée des écrits. Le problème majeur de la chine est leur politique sociale relative à la régulation des naissances. À cause de leur surpopulation, les familles chinoises ne peuvent avoir plus d'un certain nombre d'enfants. De plus, la naissance d'un garçon est favorable à la naissance d'une fille, puisque celles-ci ne sont considérées comme inférieures. Lorsque la femme est enceinte de son deuxième enfant, elle a recours à la méthode aux ultrasons. Cette méthode permet de savoir le sexe du fœtus. Dans la majorité des cas, lorsque le diagnostic annonce une fille, la femme se fait avorter. Si l'avortement n'est pas possible, les parents vont abandonner leur enfant dans la rue ou encore les jetés dans les fleuves pour s'en débarrasser.* le nombre d'enfants abandonnés chaque année est d'environ 1,7 million et évidemment, l'écrasante majorité de ces enfants sont des filles. D'un autre côté, si la jeune fille réussie à atteindre un âge suffisant, elle est rapidement mise dehors de sa maison, puisqu'elle est considérée comme inutile. Une fois dehors, la jeune fille ne voit qu'une solution pour s'en sortir et celle-ci est la prostitution. Bien que le gouvernement condamne cette pratique, il ne parvient pas à l'éradiquer. Du côté professionnel, encore une fois la femme a les mêmes possibilités d'emploi que les hommes en théorie. Cela dit, la majorité des femmes sont retenues à la maison par leur mari. Ces derniers veulent quelqu'un pour rester et s'occuper de la maison. Donc, la femme se doit d'écouter et de rester chez elle. La femme doit obéir à son mari, car ceux-ci sont souvent très violents. En effet, aucune loi ne les protège contre la violence domestique qu’elles subissent.
            En conclusion, les femmes chinoises sont, sur papier, égales aux hommes et ont une certaine protection. Tandis qu'en réalité elles vivent dans de misérables conditions.  En terminant, leur problème de natalité est immense et ils devront trouver une solution pour que la population redevienne égale, parce que maintenant la population chinoise et en grande partie masculine.  
*http://www.fraternet.com/femmes/info6.htm

mercredi 6 avril 2011


Cette semaine on se dirige vers le Liban pour voir les conditions des femmes de ce pays. Encore un autre pays où les femmes ne sont pas égaux aux hommes dans la société. Elles sont sous-traitées dans tous les domaines comme dans l’économie, dans la culture et dans la politique. Dans la famille, les femmes ne peuvent pas donner leur propre nom de famille à leurs enfants et n’ont pas du tout les mêmes responsabilités pour l’éducation des enfants. Le Liban a signé plusieurs Charte qui stipulent, que les hommes et les femmes sont égaux. Malgré tout, on retrouve tout de même de la discrimination envers les femmes. Donc, les Chartes n’ont rien changés pour les femmes libanaises. Dans ce pays, on retrouve plusieurs personne alphabétiques, mais la plus part de ceux-ci sont des femmes. Par contre, dans les deux décennies précédentes, il y a très bons progrès dans l’éducation, surtout pour l’éducation des femmes libanaises. Les femmes peuvent se marié entre 12 ans et 18 ans et pour les hommes, c’est à partir de 16 ans qu’ils peuvent se marier. Pour les libanais, une fille qui a 12 ans est à sa puberté et les gars c’est 16 ans. Pour se marier, la libanaise doit être plus jeune de l’homme.  Le Liban est contre toute forme de violence ou de viol envers les femmes. Par contre, elles sont peu à dénoncer ces actes monstrueux. Les femmes libanaises peuvent accéder à des prêts. Par contre, ce n’est pas toutes les institutions qui les accordent aux femmes, mais il y en a qui ne prêtent seulement à celle-ci. L’également, les libanaises peuvent demander leur passeport sans à avoir besoin de l’accord de leur mari et peuvent se promener librement également, mais si leurs maris ne veulent pas, elles ne l’ont pas.

En conclusion, voici un autre pays où la discrimination envers les femmes règne. Les libanaises devront dénoncer de plus en plus les crimes commis envers eux et tenir tête à leur mari pour que leur conditions soient moins difficiles. Nous pouvons nous compter chanceuse, qu’ici au Canada, nous sommes des femmes libre et traités de la même façon que les hommes.     

mercredi 30 mars 2011

La condition de la femme en Espagne

La condition de la femme espagnole a beaucoup évolué depuis plusieurs années. Cette évolution est directement reliée aux nombreux mouvements féminismes qui se font de plus ne plus présents. De plus en plus, la femme tente de se faire respecter.
En Espagne, de nombreuses lois existent pour protéger la femme. Cependant, le gouvernement et les autorités ont beaucoup de difficulté à les faire respectées. En 2008, 70000 plaintes ont été déposées devant la justice, 20 000 ordres de protection ont été décrétés, 83 juridictions spécialisées ont été activées, 375 s’occupent aussi des femmes maltraitées,* mais tout en suivant d’autres dossiers.  Ce qui explique que les femmes sont encore top souvent victime de violence et que personne ne leur vient en aide.  Cette violence leur est majoritairement faite par leurs conjoints ou encore leur mari.  De 2000 à 2009 plus de 584 femmes ont été victimes de violence conjugale*. De plus, le non-respect des lois explique pourquoi, sur papier les femmes sont égales aux hommes, mais que la réalité diffère. Prenons l'exemple des études. Bien que les filles ont, sur papier, autant de chances que les garçons d'accéder à l'éducation, en réalité, ce droit n'est pas mis en œuvre. C'est pourquoi le taux d'analphabétisme est plus élevé chez les femmes espagnoles, surtout dans les régions du sud. Aussi, lorsqu'une femme se retrouve en prison, elle n'a droit à aucune sécurité. Dans les prisons d'Espagne, plusieurs signalements d'agressions sexuelles sur les femmes ont été signalés. On relate aussi des sévices physiques qui, souvent, sont allés jusqu'au viole organisé en cellule.**
En conclusion, l’Espagne n'est pas le pire pays en ce qui concerne les conditions de la femme. Cependant, il est loin d'être le pays idéal. Les femmes devront trouver la force de poursuivre leur lutte contre la discrimination et la violence qui leur est portée. Si elles désirent que leurs conditions changent.
* http://maghrebinfo.20minutes-blogs.fr/archive/2009/01/16/les-violences-faites-aux-femmes-s-intensifient-en-espagne.html
 **http://www.fraternet.com/femmes/art16.htm

mercredi 23 mars 2011

La condition de la femme en Russie

Vous avez sans doute pu constater, chers lecteurs, que dans tous les pays du monde dont nous vous avons fait part, les conditions de la femme ne font que s’améliorer au fil du temps, ce qui est bien normal. Cependant, c’est une situation totalement inverse en Russie... Faisons un petit retour dans le passé pour vous situer :
La femme russe depuis plus d’un siècle est considérée comme essentielle au sein de la société. En effet, ses droits sont les mêmes que les hommes depuis plusieurs années déjà et elles ont la chance de s’épanouir au niveau social, politique et économique. Les Russes ont aussi les emplois qu’elles désirent et peuvent se marier avec qui elles veulent. 
En effet, durant la Première Guerre mondiale, les femmes de Russie ont commencé à contester socialement. En 1917, « A Saint-Pétersbourg (Petrograd à l’époque) elles manifesteront aux cris de: “du pain, de la chaleur‘ traduisant leur souhait de voir leurs maris revenir du front, mais aussi leur contestation face à la misère et à la hausse du prix du pain. Ces émeutes de la faim sont une étape importante de la révolution bolchevique et contribueront à l’écroulement du régime impérial russe, en moins d’une semaine. » (http://www.lepost.fr/article/2011/03/12/2432170_le-role-de-la-russie-dans-la-journee-de-la-femme.html)
C’est en 1917 que l’avortement a été légalisé, puis le droit de vote aux femmes est apparu en 1918. Puis, en 1919, le ‘Code de la famille’ apparaît en Russie, prônant l’émancipation des femmes par le travail et la maternité. Un grand nombre de droits aux femmes sont alors apparus, tel l’accès aux soins, au marché du travail ainsi que l’aide à l’éducation et à la garde des enfants. C’est Lénine lui-même qui va déclarer que le 8 mars sera la journée internationale de la femme en laissant savoir à la population russe que l’égalité homme/femme est une condition nécessaire à l’avènement d’une société nouvelle.
À l’époque déjà, l’état faisait de la propagande sur l’importance des femmes et le « droit des femmes de se battre et de défendre leur pays ».  Lénine étant très intelligent, il s’avait bien que c’était un moyen incroyable d’avoir plus de « guerriers » sous son aile.  Il y a près de 800 000 femmes qui « ont fait partie des troupes combattantes (médecins, infirmières, pilotes d’avion de bombardement ou snipers au front) et beaucoup d’entre elles ont été faites héroïnes de l’Union Soviétique.» (http://www.lepost.fr/article/2011/03/12/2432170_le-role-de-la-russie-dans-la-journee-de-la-femme.html), il ne faut pas s’imaginer que tout était parfait !  Il y avait tout de même beaucoup de femmes contraintes à se prostituer, puis les emplois, bien qu’accessibles, étaient difficiles à conserver pour les femmes et souvent même, les employeurs abusaient de leurs employées qui n’avaient guère le choix. (http://www.marievictoirelouis.net/document.php?id=245&auteurid=246)
Cependant
En 1993, un mouvement politique de femmes obtient 8% des voies lors de l’élection législative.  Malheureusement, le parti libéral des années 90 fera tout s’écrouler en revenant à la conception de la femme en tant que mère et pilier de la famille et même de la société. Depuis ce temps, les femmes de Russie travaillent très fort pour faire valoir leurs droits et pour avoir les mêmes salaires que les hommes. Les emplois sont aussi difficiles pour elles, car la discrimination est chose courante et l’État se ferme les yeux sur beaucoup de choses…  
En somme, il est bien évident que la condition des femmes venant de Russie n’est pas du tout comparable à celle des Égyptiennes, des Indiennes, des Chinoises, des Africaines ou Thaïlandaises. En effet, celles-ci ont la chance de pouvoir s’exprimer, d’exister librement et même de voyager librement. Cependant, on voit bien, encore une fois, que l’infériorité de la femme est une mentalité dont il est très difficile de s’échapper. 

vendredi 18 mars 2011

La condition de la femme en Égypte

 Dirigeons nous maintenant vers l’Égypte.  Depuis le début des temps, le but d’une femme égyptienne a toujours été la procréation. Suite a des milliers d’années avec une telle mentalité, il est difficile pour les Égyptiens de s’en défaire sans aucune séquelle!  Voilà donc que depuis le dernier siècle, la femme commence enfin à devenir « quelqu’un ».
Il est important de mentionner que le respect des droits humains en Égypte n’est pas très présent.  Selon le site http://www.fraternet.com/femmes/art65.htm, il ne suffit que de ces mots pour décrire les droits égyptiens : « restriction de la liberté d'expression et d'association, ONG comprises, prisonniers d'opinions, détentions illégales, conditions carcérales déplorables, procès inéquitables, tortures, morts en détention, disparitions, insuffisance des enquêtes (surtout concernant des exactions commises par les différentes forces de sécurité) et enfin l'application assez large de la peine capitale. ». Bref, on peut en conclure que si les conditions de vie y sont aussi difficiles, ce n’est pas surprenant que la condition de la femme ne soit pas à son meilleur!
Pour continuer dans cet élan négatif, la violence domestique est assez banalisée en Égypte.  De plus, le viol conjugal est légal, car les égyptiens sont excessivement respectueux de la vie privée…
Les crimes d’honneurs sont aussi chose courante.  Les femmes n’ont pas le droit de voyager sans l’autorisation de leur père ou de leur frère dans le cas d’une fille et pour une femme, c’est l’autorisation de l’époux qui est prise en compte.  Pour ce qui est de la rémunération, en théorie, on ne devrait voir de différence entre les sexes, mais on sait bien qu’en réalité, c’est tout autre chose!
D’un côté plus positif, on voit malgré tout quelques progrès importants.  « Alors que l'Égypte est un des pays les plus frappés par l'excision, par exemple une certaine 3600 fillettes étaient excisées chaque jour en 1997, le gouvernement, depuis 1995, essaie de limiter ces pratiques, considérant ce rite comme dégradant. » (http://www.legypteantique.com/la-place-des-femmes.php)
L’éducation est aussi accessible aux deux sexes, permettant à la femme d’avoir un peu plus de liberté d’expression. La contraception, quant à elle, est utilisée de plus en plus par les deux dernières générations, ce qui a, par conséquent, permis a la mortalité enfantine de diminuer.  Dernière chose, on retrouve de plus en plus d’associations qui œuvrent pour défendre les droits des femmes!
Pour conclure, il est sans aucun doute que la condition des femmes en Égypte reste parmi les plus difficiles au monde.  Cependant, on voit les quelques efforts de l’État pour améliorer ces conditions.  On ne peut s’attendre à ce que dans quelques années, les égyptiennes soient aussi libres que les canadiennes, mais peut-être que d’ici quelques dizaines d’années, ces femmes auront enfin la place qu’elles méritent!

vendredi 11 mars 2011

La condition de la femme en Inde

Le pays concerné cette semaine est l’Inde. Ce pays a été pendant longtemps considéré comme ayant les conditions les plus difficiles pour une femme. Voilà un autre endroit où les femmes sont mal traitées. Tout d’abord, lorsqu’une jeune femme n’a pas suffisamment de dot pour se marier, elle est tuée. Des dots sont de l’argent que le père donne à sa fille pour son mariage. De plus, selon le site www.infobebes.com , il y a 1,3 fois plus de fillettes moins d’un an, qui meurent, que les garçons du même âge. De surcroît, dans ce pays, sur 8000 avortements, on ne retrouve qu’un seul garçon sur tout ce lot. Cela est dû à l’inégalité des sexes. Pour les citoyens de l’Inde, donner naissance à une fillette appauvrit le foyer familial. Grâce à l’eugénisme par détournement des technologies, les habitants de ce pays, peuvent déterminer plus tôt le sexe du bébé attendu. Selon le site www.comlive.net , le nombre de filles et de garçons à la naissance est rendu à 861 filles sur 1000 garçons. On peut facilement remarquer le grand écart entre le nombre de filles et de garçons, dans ce pays. Par contre, à cause de la mort de plusieurs filles et des nombreux avortements, il y a maintenant une pénurie de femmes en Inde. Ce problème concerne beaucoup d’hommes de ce pays, car s’il n’y a plus assez de femmes pour tous les hommes. Donc, certains ne pourront pas se marier. De plus, vu la faible valeur des femmes aux yeux de la société, celles-ci ont de la difficulté à obtenir de bons soins médicaux rapidement et de bien mangé. De même, que plusieurs femmes de l’Inde souffrent d’anémie. L’anémie est provoquée par le manque de fer dans le système d’une personne et ces femmes en sont victimes, car elles ne mangent pas adéquatement. Les femmes enceintes qui sont atteintes d’anémie accouchent de bébés sous-alimentés. De plus, pour ce qui est du travail des femmes en Inde, on peut retrouver des femmes écrivaines, des leaders, des astronautes et même des politiciennes. Par contre, la pauvreté fait qu’il y en a qui doivent rester à la maison. Ces femmes travaillent deux fois plus qu’un homme, car elles doivent faire les travaux domestiques et également aller travailler à l’extérieur.  Pour l’éducation, le taux des femmes qui en ont reçu s’approche de la moyenne mondiale. 
Pour conclure, l’Inde n’est pas le seul pays où nous retrouvons l’inégalité des sexes et la violence chez les femmes. Pour réussir à en faire un meilleur pays, les citoyens devraient arrêter d’avorter les jeunes filles et même de les tuer. Voilà le plus important fléau de ce pays et en le réglant, tout le reste suivra.